J’ai déjà eu l’occasion d’en parler, mais depuis le début de cette année, je suis très actif sur github, et me force à faire au minimum une contribution par jour.

De même, depuis que j’ai pris goût à l’open-source, j’essaie de partager un maximum de code sous forme de modules : ça me permet à moi de réutiliser facilement des bouts de code d’un projet à un autre, et si ça peut servir à d’autres, ben c’est super…

Le problème, quand on multiplie les idées et les projets, c’est de les nommer.

Personnellement, j’utilise une technique un peu idiote mais extrêmement marrante : j’ouvre Google Translate, et je tape tous les mots-clés qui me viennent à l’esprit concernant mon projet. Et ensuite, je choisis la langue de destination vers une langue rigolote, genre le Créole Haïtien ou l’Espéranto, et je choisi le nom qui me plaît le plus.
C’est ainsi qu’on se retrouve avec des noms comme les suivants :

• kouto swiss, une librairie de fonctions & d’utilitaires pour stylus
• prefiks, un utilitaire pour récupérer les préfixes css à utiliser pour une feature dans une version donnée d’un browser, en se basant sur les données du site caniuse.
• tankipas, un outil en ligne de commande pour connaître le temps approximatif passé sur un projet, en utilisant les dates des commits du repo (et sa tâche grunt).
• pwendok, mes dotfiles.
• konpa, un e-book regroupant des trucs & astuces pour les développeurs web récemment diplômés.
• angaje, le code d’une petite page de présentation & démarchage.
• kourikoulom, mon CV.
• jeyo-distans, un module de calcul de distance entre deux coordonnées géographique.
• rekip, un très simple module de téléchargement de fichier.
• figi, un module de remplacement de smiley par des balises html dans un texte.
• kwonik, le code de ce blog.
• pandri, un système de stockage clé/valeur en mémoire RAM, avec backup en json.
• klopedi, divers trucs que je ne veux pas oublier.
• woazar, un outil en ligne de commande pour générer des données aléatoires et des empreintes cryptographiques (hash).
• jenez, la structure de base pour nos projets node.js.

C’est une idée comme une autre, mais elle a l’avantage de me faire rire, et moi, si j’me marre pas, ça vaut pas la peine.